tag:blogger.com,1999:blog-4979220357013902557.post4928867800163812768..comments2024-01-22T19:18:21.741-08:00Comments on MICHEL TERESTCHENKO: Loi portant sur la prolongation de l'état d'urgenceMichel Terestchenkohttp://www.blogger.com/profile/11886715248381049022noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-4979220357013902557.post-402551528526472942022-11-28T00:31:37.028-08:002022-11-28T00:31:37.028-08:00 Depuis les deux vagues d’attentats qui se sont dé... Depuis les deux vagues d’attentats qui se sont déroulés en France, la violence et la manipulation de la violence ont fait partie d’une stratégie des gouvernements que se succèdent depuis cette époque. Essayer de justifier la violence par la violence est devenue chose courante. Pouvons-nous encore même dire « hélas » ? Les rassemblements de personnes peuvent engendrer des risques de manigances en tout genre : la paranoïa devient notre système de penser. Avoir peur est ce qui nous identifies. Quand nous ne le voulons plus, alors on nous remet une couche de terreur afin de ne pas oublier. Comment oublier des massacres de vivants ? Il est impossible d’oublier. Personnellement, je me souviendrais toute ma vie, d’avoir entendu à la radio la prise d’otages, tout se passait en temps réel ; avec ma maman, nous étions dans le dernier virage avant d’arriver chez nous. Je me souviens lui avoir dit : « nous voilà dans la peur. ». N’est-il pas tragique qu’une adolescente de 14 ans se rende compte de la brutalité dans laquelle la peur fait vivre ? Il est normal de développer une peur face à la violence mais à quel point s’en est-on servi afin d’arriver à nos fins ? De là est naît l’état d’urgence. Plus de rassemblements, plus de droit de manifester, plus de droit de caricaturer. Pouvons-nous rire de tout ? Avons-nous encore le droit de nous rassembler en famille sans qu’il soit pensé de mauvaises choses à notre égard. Avons-nous encore le droit de penser sans avoir des pensées intrusives quant à notre comportement ? Pouvons-nous appeler la France « le pays des droits de l’Homme » quand on n’arrive pas à penser librement ? Il faudrait, sans doute, cesser de dire cela. Pour avancer dans un temps, que nous connaissons que trop bien, 2020.<br /> Une crise internationale, cette fois non-économique au sens premier, révèle les nombreuses failles qui menacent de faire écrouler la construction. Ces fissures sont nombreuses, à commencer par les mensonges à répétition de ceux qui nous « représentent ». Rire à gorge déployé sur une mauvaise santé et s’amuser de la situation, qu’est-ce qu’ils ont fait d’autre ? Bien sûr, les confinements. Faire entrer la peur d’être contaminé dans nos foyers, voilà ce qu’à créer ces confinements. De la paranoïa dès que les moindres signes de rhume arrivent, les chaînes de désinformations, excusez-moi d’informations, en boucle. Entendre chaque jour le nombres de personnes décédées fait culpabiliser de pouvoir vivre. Jamais je n’aurais pensé pouvoir ressentir cela. Être forcé de rester chez soi, les étudiants restés quasiment un an chez eux. Ne pas pouvoir avoir de contact social, une détresse flagrante mais encore des « mesures » tardives. Des suicides en nombre, ça, par contre, c’est oublié. Le télétravail est devenu monnaie courante, les burn out montent en flèche, mais aujourd’hui, la tendance est de mêler le télétravail et les vacances mais avec les « avantages » d’être sur le lieu de vacances ! Nous sommes en train de devenir, si ce n’est pas déjà le cas, des machines à appliquer un programme. Comme les ordinateurs, des codes sont mis en nous afin d’exécuter un programme.algiz.odalnoreply@blogger.com