Laurent, qui en est le principal rédacteur - ma contribution a été tout à fait modeste - apporte une riche et précieuse documentation sur cette question, sujette à bien des controverses, où les opinions l'emportent souvent sur ce que les recherches expérimentales nous permettent de dire avec un peu de certitude : l'effet, souvent de désinhibition, de désensibilisation et de banalisation, que les émissions violentes exercent sur les spectateurs qui y sont exposées pendant une durée de temps plus ou moins longue, quoiqu'il soit difficile, sur cette base, d'expliquer les actes effectifs de délinquance et, plus encore, d'établir une relation qui serait de stricte causalité.
La deuxième partie de l'article revient, plus longuement que nous l'avions pu dans l'article précédemment co-signé dans Le Monde (9 mars 2010), sur l'émission de télévision La Zone Extrême : ses apports et ses limites.
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